BSD 2.0 : la Brasserie Septante-Deux bouge !

BSD 2.0 : La Brasserie Septante-Deux s'agrandit!

Après un an et demi d'existence...

... la Brasserie-Septante Deux ne peut plus faire face à la demande ! 

Nous avons donc lancé le chantier de la BSD 2.0, et c’est la raison pour laquelle nous lançons cette campagne de financement participatif qui permettra à votre nouvelle brasserie urbaine de voir le jour !

Nous allons nous installer...

...dans un grand bâtiment en plein centre-ville, pour y brasser plus de types de bières, et en plus grande quantité ! Mais ce n'est pas tout, nous tenons aussi à faire de notre brasserie un lieu public ! En participant, vous nous aiderez à acheter du matériel pour augmenter notre capacité de production, mais aussi à acquérir l’équipement qui nous permettra de vous accueillir dans le bar de la brasserie.

Voilà le topo

Le local est trouvé, le matériel de brassage et de fermentation est en cours de production, notre ligne de conditionnement arrive bientôt, les recettes patientent au chaud dans le coffre à recettes et les travaux ont déjà démarré. 

Mais mais mais mais... le bâtiment que nous allons occuper est canon de chez canon, mais était dans un état catastrophique lorsqu’on l’a repris en main. Une partie importante de notre budget passe donc fatalement dans les travaux, et comme d’hab, ça coûte plus cher que prévu.

Plus qu’un dernier coup de pouce et nous pourrons vous offrir ce dont nous rêvons : une vraie brasserie artisanale urbaine du feu de dieu !

Avec votre aide, nous pourrons transformer cette bâtisse en un temple du houblon, où nous débriderons totalement notre créativité brassicole, mais aussi un endroit ouvert à tous, disposant d’un vrai espace de dégustation spacieux et confortable, où la production sera faite sous vos yeux, en sirotant tranquillement une pinte bien fraîche.

Augmenter notre capacité de production nous permettra également de nous faire connaitre un peu plus loin et -pourquoi pas- de faire rayonner notre chère ville du Mans pour autre chose que ses rillettes et les bagnoles ! 

Notre philosophie 

Depuis le départ, nous avons à cœur de travailler là où l’on vit, et de participer au développement de notre ville, en s’implantant au cœur de celle-ci.

Le Mans bouge et nous sommes fiers d’y participer !

Nous voulons ouvrir notre brasserie un maximum au public, les cuves de brassage et de fermentation seront visibles au public, de l’intérieur et même depuis la rue ! Le circuit le plus court sera obtenu en consommant directement sur place ou en achetant à emporter la bière produite sous vos yeux dans notre brasserie !

Nous avons adopté une démarche respectueuse de l’environnement, en privilégiant les matières premières issues de l’agriculture biologique et en privilégiant un circuit court. Nous ne bénéficions pas de label en ce sens, favorisant un compromis entre le bio et le local. Nous voulons utiliser au maximum les houblons français, dont la production bio n’est à ce jour pas suffisante pour nous approvisionner. Nos malts sont tous biologiques et nous n’utilisons pas de produits chimiques dans nos bières. Nous ne filtrons ni ne pasteurisons nos bières, et la pétillance est obtenue naturellement par la fermentation. 

Les drêches (le reste des grains obtenus après brassage) sont valorisées : elles sont données comme aliments pour les vaches laitières d’agriculteurs à quelques kilomètres seulement de la brasserie.

Notre gamme de bières 

Exit le triptyque Blonde-Brune-Ambrée, nous préférons parler des bières en terme de styles (pale ale, bitter, IPA, stout, etc.).

Nous avons donc eu l’idée de donner à nos bières (de la gamme permanente) des noms de figure de style, ça sonne bien à nos oreilles et puis ça fait bière d’intellos ! 

À la manière de l’OuLiPo, nous nous amusons à les décrire sur leurs étiquettes en respectant la contrainte littéraire que leur nom impose. 

Zeugma : Pale ale  5.5% 

Blonde cuivrée, sèche, fruitée et houblonnée, c’est notre bière phare ! Corps très légèrement biscuité, et amertume franche, suivi de notes de fleurs et de fruits blancs et d’une pointe d’agrume.

Hyperbole : Rye IPA  6.2% 

Couleur ambrée, puissante, charpentée, bien maltée et houblonnée. Derrière son corps marqué par le seigle, une charge puissante de houblons alsaciens au premier rang desquels le Barbe Rouge, et son nez de fraise !

Litote : Saison acidulée  5% 

Couleur blond paille, légère, sèche et épicée, marquée par un caractère très citronné, grâce à une légère fermentation lactique (pendant le brassage) et au houblon Triskel.

Flantier (bière de Noël) : Coconut stout 7.2%

Robe noire très sombre, aux légers reflets rouges, le nez offre des notes de noix de coco, de café et de chocolat. En bouche, c’est gourmand et puissant, mais pas sucré. Le final est sec, sur le café et la coco torréfiée.

Et aussi : Une session IPA, une Florida weisse aux fruits, une IPA à l’américaine, une Pils... Plus d'info sur ces nouvelles bières à retrouver bientôt en page "Actualité".

Ici la Page Facebook de la brasserie

L’équipe

Nous étions au départ deux frangins, Maxime et Joffray, vite rejoint dans l’aventure par Clovis, un pote de toujours. À force de trainer dans la brasserie, s’associer à notre projet s’est imposé comme une évidence ! 

Maxime

Formé de façon autodidacte au brassage, c’est après une première expérience dans un brewpub londonien en 2009, qu’il s’est jeté corps et biens dans la bière. Diplômé par la suite de l’université de la Rochelle (DU de brasseur), il a bossé dans quelques brasseries et brewpubs, avant de retourner sur les bancs de l’unif’… à Bruxelles. Master de journalisme en poche, il désertera les rédactions pour intégrer finalement la brasserie Cantillon pendant deux ans. Voyageur et cuistot à ses heures, c’est un peu, le maître brasseur de l’équipe, celui qui s’amuse à refiler le virus du brassage à la famille et aux potes (et les gonfle un peu à parler bière tout le temps).

Joffray

L’entrepreneur du crew. Diplômé d’un master en commerce international, il a travaillé quelques temps en Belgique (tiens tiens) pour une célèbre marque au logo pommesque, avant de se rendre compte que les patrons c’était bien, mais qu’être le sien (de patron), ça pouvait être cool aussi. Il s’est vite formé au maniement du fourquet et maîtrise la brasse comme son frère. Accro au sport, il soulève les sacs de malt du petit doigt et jongle avec les fûts.

Clovis

Le dernier arrivé du troupe, ce touche-à-tout diplômé en électro-tech s’avère l’élément indispensable à l’agrandissement de la brasserie. Qui dit matos plus sérieux dit machines plus complexe, et ça tombe bien, c’est le seul des trois à pouvoir brancher ensemble deux fils électriques sans mettre le feu au stock de malt. Pilote d’avion à ses heures perdues, il a prévu d’accrocher un grand drapeau Brasserie Septante-Deux à son zingue, et de survoler la prochaine course des 24h du Mans.

(Monsieur) iou

Notre poto graphiste ! Le seul non-Sarthois de l'équipe, un copain de Bruxelles, dont on admire le travail ! Dessinateur de talent, auteur de BD (le Tour de Belgique, ed. grand Braquet), c'est lui qui crée l'univers graphique de notre brasserie ! Il semblerait qu'il aime bien la bière aussi.

Le site de Monsieur Iou

Les paliers de besoin financier

Premier palier : 5000 €

Une vraie tap room de ricains ! 

Cette somme nous permettra de créer le cœur de notre tap room (comprendre « salle de dégustation »). En installant des cuves de service (sortes de fûts de bière géants) dans une chambre froide directement derrière le bar, nous pourrons vous servir la bière la plus fraîche qui soit, qui n’aura parcouru que quelques mètres depuis la salle de brassage jusqu’à votre verre ! À l’image des tap rooms de nombreuses brasseries ou de certains bar à bières, cette configuration nous permettra d’avoir une douzaine de becs, avec en permanence nos bières classiques et des brassins éphémères et saisonniers, mais aussi de mettre en avant les bières d’autres brasseries locales, françaises ou internationales !

Deuxième palier : 10.000 €

Des barriques pour notre chai !

Max est un passionné de fermentation spontanée et de bières élevées en barriques. Le virus du lambic nous a contaminé et nous avons pour projet de démarrer une production de bières spontanées, inspirées par la tradition bruxelloise. L’élaboration de ce type de bières - produites exclusivement en hiver - nécessite l’utilisation d’un bac refroidisseur (ou koelship/coolship) situé au grenier, pour refroidir le moût naturellement au contact de l’air. Les ferments sauvages, présent dans l’air qui nous entoure, permettent au moût, une fois entonné dans des barriques de bois (de chêne, mais pas que) de fermenter spontanément, naturellement. Ensuite, c’est une affaire de patience, puis d’assemblage pour créer des bières complexes et raffinées. Avec cette somme, nous pourrons nous équiper d’un koelship et de fûts afin de créer une véritable bière de terroir !

Troisième palier : 15.000€

Un canon à houblon !

Objet unique et insolite, le canon à houblon (ou hop gun, hop torpedo, hop rocket…) permet de maximiser la surface d’échange entre la bière et le houblon cru ! En utilisant ce drôle de machin, on fait circuler la bière à travers un large panier rempli de houblon bien frais et on lui confère ainsi un maximum de saveurs ! Si vous nous aidez atteindre ce palier, nous pourrons multiplier d’autant plus les styles de bières et proposer des breuvages juteux et fort aromatiques !