Aidez à la Bouillette Tarnaise à grandir !

La Bouillette Tarnaise est une petite entreprise, spécialisée dans la fabrication d'appâts pour la pêche a la carpe, crée par Paul Rey en octobre 2017. Depuis sa création, l'activité n'a cessé d'augmenter. Si bien qu'aujourd'hui, le local est devenu trop petit, le matériel plus assez efficace pour répondre à cette demande qui explose et qui prouve la qualité des produits. En participant à ce financement participatif, vous aidez La "petite" Bouillette Tarnaise à grandir ! Merci d'avance de votre participation.

« En 2017 , j’ai décidé de créer mon activité car je ne trouvais pas, dans le commerce, les produits qui m’intéressaient, fabriqués localement, avec une grande qualité. Il me manquaient aussi l’aspect relationnel qui est très important pour tous les pêcheurs pour être bien conseillés. Mon projet s’est donc orienté autour de ces constats».

Les produits à disposition des carpistes sont principalement des produits industriels, souvent fabriqués à l’étranger, par quelques gros opérateurs de la filière. De plus, l’effet de marque fait que ces produits sont souvent vendus à des prix élevés (alors que leur coût de production eux, sont réduits par l’industrialisation du processus de fabrication).

Depuis la création de La Bouillette Tarnaise, les canaux commercialisation a évolué notamment sur Internet avec la mise en ligne d’une boutique sur le site Internet, qui permet aux clients de commander et payer leurs appâts. Aujourd’hui 70% des commandes sont passées via ce canal de distribution. Une nouvelle version du site a été mise en ligne en janvier 2021.
En plus d'internet, La Bouillette Tarnaise réalise du "clic and collect" pour les clients locaux. Ils viennent récupérer leurs appâts au siège de l’entreprise ou lors de ventes sur les salons et évènementiels auxquels l’entreprise participe.

Peu à peu, La Bouillette Tarnaise a aussi développé sa présence locale, notamment en sponsorisant des évènements et compétitions de pêche à la carpe.
L’entreprise s’implique également dans des démarches éco-responsables en proposant des sacs et bidons réutilisables pour la conservation et le transport des appâts et développe progressivement l’approvisionnement local pour les matières premières.

« Notre démarche veut se compléter par la participation, avec des associations locales de pêche à des démonstrations vers les jeunes publics, dans le cadre des écoles de pêche par exemple. »

La pêche en France c’est 1 million 500 000 pratiquants et 17 000 dans le département du Tarn (chiffres fédération nationale pour la pêche et la protection des milieux aquatiques 2018). Les estimations du nombre de pratiquants de la pêche de la carpe sont  peu nombreuses mais on peut estimer entre 130 000 et 150 000, le nombre de carpistes en France. Le salon international de la pêche de la carpe et du silure attire tous les 2 ans à Montluçon de l’ordre de 20 000 visiteurs sur 2 jours.

Pour ce qui est de la pratique de la pêche de la carpe, le Tarn (et plus largement la région Occitanie) compte un grand nombre de sites de pêches (linéaires de rivières, lacs de barrage pour certains mythiques pour les carpistes…). Depuis plusieurs années, en Occitanie, la pêche de la carpe se développe avec la création de parcours de pêche nocturne.

- Les bouillettes : des billes de différents diamètres, composées de différents ingrédients et additifs (dont la plus grande majorité d’origine naturelle) : œufs, farines céréalières et animales (catégorie 3), huiles, arômes et colorants (naturels pour une part de plus en plus importante).
- Les appâts leurres : bouillettes flottantes...
- Les produits destinées à l’amélioration ou au boostage de l’esche : liquides de trempage, traçants, pâtes d’enrobage, farines dispersantes appelées stick-mix…

Face à une demande grandissante, l’entreprise a connu un franc succès durant l'année 2018 et 2019. Aujourd'hui La Bouillette Tarnaise a besoin de se développer, de manière raisonnée et réfléchie

La crise du Covid-19 a touché de plein fouet l’activité qui a été interrompue pendant deux mois en 2020 (les deux mois de l’année qui sont les plus importants en termes de vente), stoppant par la même occasion les projets de développement… L'année 2020 aura toutefois été la meilleure avec une forte croissance de l'activité.

Paul est à l'origine de ce projet ambitieux basé sur des valeurs de partage, de respect de l'environnement et de développement économique local.

Dans l'aventure, il est accompagné d'Alex. Ensemble, ils ont l'ambition de s'associer au sein d'une structure coopérative pour conserver l'esprit familial et de partage des origines.

Avec eux, une équipe de "consultants" qui participent à la vie de l'entreprise et qui sont devenus des amis. Ensemble, ils réfléchissent à l'avenir : marketing, communication, développement de produits, de service, amélioration de la fabrication... Et bien entendu, ils pêchent, car c'est bien-là leur passion commune.

Un groupe de pêcheurs complémentaire appelé "Team Member" a pour mission de communiquer, au travers de photos, de vidéos, de récits, pour assurer la visibilité de la marque, en allant à la pêche le plus souvent possible.

Un changement de local est indispensable pour faire face à l’augmentation d’activité (stockage des matières premières et des produits finis notamment), tout comme l'achat de nouveaux outils de travail plus performants (machines de fabrication appelées « rouleuses », chariots de transport, fûts et bidons de stockage supplémentaires) permettant d’améliorer d’une part les conditions de travail (positions et déplacement permettant de lutter contre les troubles musculo-squelletiques et le transport de charges lourdes) et d’autre part d’augmenter la productivité.
Les besoins s’orientent également vers l’achat de matières premières en grande quantité (permettant de réduire les coûts et de se tourner de manière encore plus importante vers les marchés locaux de l’ordre d’un rayon d’une centaine de kilomètres). L’objectif de l’entreprise est de mettre en œuvre un plan de réduction de l’empreinte carbone liée aux activités de fabrication et de transport notamment. C'est un choix  assumé de limiter les frais inutiles et polluants pour la planète (étiquetage et packaging le plus simple possible, marketing basé sur la dématérialisation, groupement des commandes clients lorsque cela est possible pour limiter l’usage des transports…).

L’activité actuelle de l’entreprise, si elle est en hausse régulière et importante depuis sa création, ne permet pas encore de bénéficier d’un fond de roulement et d’autofinancement suffisant pour réaliser les investissements, surtout après la crise du Covid-19, avec une perte de chiffre d’affaires estimée entre 5000 et 7000 euros.

Le projet global nécessite la mobilisation de plusieurs sources de financements :
- une part d’autofinancement (de l’ordre de 20%)
- un apport financier lié au changement de statut de l’entreprise vers un système coopératif (de l’ordre de 15%)
- la recherche de financements publics, notamment aides régionales, fonds FEADER ou autre (10%)
- ce financement participatif sous le format de donavec contrepartie (55%)

Palier 1

Le 1er palier consiste au renouvellement et à l’augmentation du matériel de fabrication (rouleuses, étagères de stockage, chariots de transport,  rangement de stockage pour les produits finis…Nous souhaitons acquérir une nouvelle machine à rouler (2000 euros). L’investissement concerne aussi des cagettes de séchages supplémentaires, étagère de stockage, remplacement d’une balance et acquisition de balances professionnelle de meilleure capacité, achat de nouvelles cagettes pour cuisson vapeur  pour renouveler le matériel actuel, le tout pour un montant de 1000 euros.
Financement du palier 1 : 3 000 euros.

Palier 2

Le second palier permet de louer un nouveau local (en cours de recherche), de le mettre aux normes de fabrication et d’agrément, de s'y installer et également de nous assurer quelques mois de loyer pour se lancer confortablement.(environ 2 000 euros).
Financement du palier 1+2 : 5 000 euros

Palier 3

Troisième étape, la préparation et l’ouverture d’un point de vente en façade de l’atelier de fabrication. Pour cela, il faut investir dans les étagères de ventes, emballages, éléments de publicité sur le lieu de vente, bureau d'accueil et de tous les frais d’aménagement du magasin. L’objectif de ce palier est aussi de créer un circuit de visite pour montrer les étapes de fabrication en petit groupe ou individuellement et de proposer un lieu de rencontre avec notre clientèle (démonstrations…)
Financement du palier 1+2+3 : 7 500 €